Histoire érotique : Lydie l'employée

Mon prénom est Lydie, Je travaille depuis dix ans dans l'administration et l'histoire que je vous raconterai pour cadre mon lieu de travail, Avant d'aller plus loin, sachez que j'ai trente-cinq ans ; Je suis mariée avec Marc depuis huit ans, nous nous entendons bien. Cela dit, je ne suis pas un parangon de fidélité. J'aime mon mari, c'est entendu, mais j'éprouve de temps en temps le besoin de foire l'amour avec d'autres hommes. Et quoi de plus naturel ? Seuls les critères imbéciles d'une morale hypocrite nous commandent de vilipender la femme adultère. Mais j'en viens à mon récit. Une de mes collègues, Georgine, "possède", si je puis dire, un mari hyper-séduisant. Impossible à mon avis pour une femme normalement constituée, de le rencontrer sans avoir envie de lui. Imaginez un type de trente ans, grand, harmonieusement musclé, des yeux bleus superbes. Une sorte de Paul Newman, mâtiné d'Alain Delon. Vous voyez le genre ? Le plus étonnant, c'est que Georgine, sans être laide, n'est ni jolie, ni sensuelle. C'est du moins l'impression quelle donne, et dès quelle a le dos tourné, les commentaires et les suppositions vont bon train sur cette curieuse union. La petite merveille en question se prénomme Maxime.

George prétend qu'il est ingénieur agronome, mais il doit avoir des loisirs, car il passe souvent dans l'après-midi dire bonjour à sa femme. A mon avis, c'est un bon prétexte pour bavarder et plaisanter avec les nanas qui travaillent dans le bureau, ce qui met Georgine en rage. Elle a beau essayer de cocher sa jalousie, c'est aussi criant que la boule rouge sur le nez d'un clown. Maxime soit qu'il plaît aux femmes. La façon un peu appuyée qu'il a de serrer les mains, les regards chaleureux, les petits sourires complices... Il sait qu'il n'y en a pas une dans le bureau qui refuserait de faire l'amour avec lui s'il le lui proposait. Seulement, même s'il a envie de batifoler, Georgine veille au grain. C'est une véritable glace blindée quelle installe entre son chéri et les autres femmes ! Depuis trois ans que je vois Maxime papillonner dans notre bureau, mon envie de lui est devenue plus forte. Je guettais ses visites, faisais des efforts de coquetterie particuliers, les jours où j'étais à peu près sûre qu'il allait venir. Souvent, je m'isolais dans les toilettes pour me masturber en pensant à lui, et mon excitation était si forte que j'atteignais l'orgasme en cinq minutes à peine. Naturellement j'avais constaté que je n'étais pas indifférente au beau Maxime. Si je ne hantais pas ses rêves comme il hantait les miens, je sentais tout de même que je ne lui déplaisais pas. D'ailleurs... Passer du rêve à la réalité ne fut pas facile. Les soirs où il venait chercher Georgine, même sil plaisantait avec moi, c'est avec sa femme que Maxime repartait. Je proposai à Georgine de venir déjeuner un dimanche à la maison, avec son mari, bien entendu ! Elle me regarda sournoisement et répondit sans hésiter que "c'était impossible... " je n'insistais pas.

Une autre fois, comme nous nous disions bonsoir sur le trottoir, j'offris d'aller prendre un apéritif. Certes, ce n'était pas grand chose, mais un début... Maxime accepta avec enthousiasme, Georgine lui jeta un regard noir, pinça les lèvres, prétendit avoir trop mal à la tête pour s'attabler dans un café bruyant et enfumé. Il fallait faire quelque chose, je n'en pouvais plus ! Mon envie de ce mec tournait à l'obsession, ça ne pouvait pas durer. J'avais espéré qu'il trouve une combine pour me contacter en dehors de la surveillance de sa femme, mais il n'avait rien fait. Comme tous les types très demandés, il me laissait implicitement le soin de trouver une solution. Quinze jours durant, je remuais dans ma tête toutes les éventualités. Lui téléphoner ? J'avais une chance sur deux de tomber sur Georgine. Lui écrire ? Elle pouvait très bien lire son courrier. Et puis, où nous rencontrer ? Comment distraire le temps nécessaire à une entrevue sans alerter nos légitimes ? Je trouvai enfin, tout à fait par hasard. Les locaux où nous travaillons étaient en réfection. Lessivage, peintures, nouvelles moquettes, etc., Un désordre permanent régnait dans les couloirs, et à l'occasion de toutes ces allées et venues, je découvris une porte ouverte sur un petit bureau désaffecté.

Je n'avais jamais prêté attention à cette porte, l'ayant vue toujours fermée. Je glissais ma tête dans l'entrebâillement, et constatais qu'il y avait là, inutilisée depuis des années, à peu près inconnue du personnel, une petite pièce tout à fait propice à une partie de jambes en l'air. La clef était sur la serrure ; je la fis tourner, elle fonctionnait parfaitement. Enchantée, je tirais le vantail et mis la clef dans ma poche. J'avais trouvé l'endroit, il ne me restait plus qu'à prévenir Maxime. Ce que je fis sans perdre de temps. Adroitement, je lui glissais un billet, où, avec un petit plan des lieux, je lui suggérais de me retrouver à quinze heures précises, le lendemain. A quatorze heures quarante-cinq, le jour dit, je commençai à me plaindre de nausées et de maux de tête. J'allai à la fenêtre, pris quelques aspirations, revint à ma place où je restai prostrée. "Allez donc à l'infirmerie, me dit mon chef (ce que j'attendais évidemment), vous devez avoir mangé quelque chose qui ne vous convient pas. " Je me levai, regardai Georgine. Studieuse et appliquée comme toujours, elle ne me prêtait aucune attention. Il était évident qu'elle n'avait pas le moindre soupçon. Je courus jusqu'au petit bureau, serrant la clef "magique" dans ma poche. J'avais le cœur battant. Et s'il n'était pas là ?

S'il avait mal compris, pas trouvé, ou tout simplement pas eu envie de venir ? Je me faisais du souci pour rien. Négligemment appuyé au chambranle, le sourire plus aguicheur que jamais, le beau Maxime m'attendait. Le temps nous était compté, il le savait comme moi et nous ne nous perdîmes pas en bavardages inutiles. J'ouvris et refermais Ia porte à clef, me jetai littéralement sur sa bouche. Il m'embrassa aussi, tout en remontant jusqu'à l'entrejambe de mon slip. Il caressa un moment ma vulve à travers le tissu. Je mouillais terriblement et quand il enfonça deux doigts dans mon vagin, il s'ensuivit un petit bruit mouillé qui le fit sourire avec fatuité. Moi, j'avais ouvert sa chemise, je passais des lèvres avides sur sa poitrine, suçais les pointes des mamelons, Il me débarrassa rapidement de mon chemisier et de mon soutien-gorge, se recula un instant pour regarder mes seins. Les prenant dans mes mains, J'amenai les pointes à hauteur de sa bouche. Il les mordit avec une brutalité qui ne me déplut pas. Son souffle devenait court, je mis ma main sur sa bitte : il ban-dait. J'en conçue de la fierté et de l'excitation.

Pendant que je baissais son pantalon et son slip, Maxime fouillait les replis de ma vulve, remontant par instants jusqu'en haut du sillon de mes fesses. J'étais morte d'excitation et quand je pris sa queue dans ma bouche, je poussais un vrai soupir de joie. Elle n'était pas très grosse, mais épaisse et très dure. Le gland presque violacé, tranchait sur la peau claire et les poils blonds du pubis. Je pris un des testicules, l'aspi-rai, sentant avec délices les frémissements de la peau. Puis, je pris l'autre, et caressais les cuisses, les fesses avec ardeur. Enfin, je pris sa bitte. Je léchais d'abord le gland à petits coups de langue, l'ap-puyai fortement contre mes lè-vres. En deux ou trois succions, j'avais introduit sa verge entière dans ma bouche. Adossé, au mur, Maxime rythmait le va-et-vient. Il jouit très vite, et je gardais le sperme dans ma bouche, pour bien en savourer le goût avant de déglutir. Je n'avais aucune idée du temps écoulé depuis que nous étions dans ce réduit. Maxime ne semblait guère se soucier de ces contingences, Pour ma part, je sentais que le temps "légal" pour un passage à l'infirmerie était écoulé, et qu'il serait prudent de regagner mon bureau, Mais je brûlais ! L'entrejambe de mon slip était poisseux, j'avais trop envie de faire l'amour pour quitter la pièce sans avoir obtenu satisfaction. Je masturbais Maxime, et par chance, je sentis très vite les pulsations de la bitte qui redevenait dure. Alors, debout contre lui, je le guidai jusqu'à l'entrée de mon vagin. Je voulus prolonger un pou le plaisir, et massais mon clitoris avec le gland à nouveau gonflé. Mais n'y tenant plus, j'enfonçais la verge d'un coup dans mon sexe.

J'étais merveilleusement emplie, et restai une minute immobile, avant de creuser les reins, ondulant, poursuivant mon plaisir de plus en plus violemment, Maxime avait saisi mes fesses. Il me maintenait si solidement contre lui, qu'à chaque montée de son sexe dans le mien, mon clitoris trottait contre ses poils, ce qui augmentait encore ma jouissance, Brusquement, il m'embrassa. Le contact de sa langue qui fouillait ma bouche comme sa verge transperçait mon ventre, déclencha un orgasme intense, Je criai, mon vagin se contracta, et un nouveau jet de sperme m'inonda, Nous restâmes quelques instants accrochés l'un à l'outre, grisés, respirant nos sueurs mêlées comme la dernière vogue de notre jouissance, Enfin, nous revînmes à la réalité. "Rejoignez vos collègues, me dit Maxime, qui bizarrement, me vouvoyais à nouveau. Tenez, arrangez-vous un peu. " Il sortit une liasse de Kleenex de sa poche, m'en tendit une partie. Un peu gênée, je me tournai pour essuyer mon sexe, écartant les cuisses, ployant les genoux, sans penser que je lui présentais mes fesses, ce qui le fit rire. Lui, avec l'assurance d'un homme à l'aise en toutes circonstances, essuyait posément sa verge et ses testicules. Il me passa un peigne et je me recoiffais en me servant d'une des vitres comme miroir. J'étais à peu près présentable et regagnais mon bureau, l'air aussi serin que possible. "Comment va votre migraine " demanda le chef ? - Oh, mieux... beaucoup mieux" répondis-je réprimant une forte envie de rire. En m'asseyant, je sentis mon slip toujours mouillé contre mon sexe, et cela m'excita tellement que je dus aller une fois de plus me masturber aux toilettes. Depuis ce jour, Maxime et moi nous retrouvons souvent dans le petit bureau, où nous prenons un maximum de plaisir. Georgine, elle, sagement penchée sur ses dossiers, ne se doute de rien. Et c'est très bien comme ça. Inutile de lui faire de la peine.---